«. La, appliquer ces fragments de statut, de fait surtout mais aussi de droit, qui existaient déjà auparavant, en leur donnant parfois un peu plus de consistance juridique. Mais -d'une part, on y ajoutera l'application partiellement effective du droit de la nationalité française (partiellement effective car le droit d'option « pour la France, pour le Surinam ou pour le Brésil » pratiqué lors de la « francisation » est, pour le juriste, une absurdité et parce que la situation en matière d'état-civil est loin d'être satisfaisante) avec toutes les conséquences que cela entraine en terme de droits mais aussi d'obligations -et d'autre part, on restaurera l'organisation communale, 1960.

. Qu, un faible rôle quant à la construction de ces éléments de statut des Marrons en Guyane française. En réalité, ils ont été avant tout construit conjointement par les autorités coloniales françaises et par les Marrons eux -mêmes qui ont notamment bénéficié de trois atouts : leur établissement frontalier, leur maîtrise de la navigation sur le Haut-Maroni et, pour certains

D. Groot, . Silvia, . Paris, and . Girault, The Surinam Maroons and their colonial rulers, La Haye, Martinus Nijhoff Faberon Principes de colonisation et de législation coloniale, 4ème éd, Marronnage et nationalité : le destin singulier des Boni (1836-1892) » in Elfort, Maude ; Roux La question autochtone sur le plateau des Guyanes, 1921.