L. Abénon and H. Joseph, Durant la Seconde guerre mondiale, les habitants de la Martinique étaient à peu près, Les dissidents des Antilles dans les Forces Françaises Libres, Association des dissidents de la Martinique, p.0, 0200.

L. G. Gerry-l'étang and . Le-sacrifice, De l'Inde à la Martinique, les avatars de l'hindouisme, Presses Universitaires du Septentrion, p.232, 1999.

, Ces dernières années, la gestion des « routes nationales » de Martinique a été attribuée à la Région

, mais leur dénomination n'a pas changé

L. 'écrivain-voyageur-français-jean-raspail-est-d'un-avis-similaire, On croirait une façade de bain turc dessinée par un architecte parisien qui aurait trop lu Pierre Loti sans jamais sortir de son bureau, Secouons le cocotier. Les Antilles un peu, beaucoup, à la folie, p.229, 1966.

E. Martinique, Mais dans la mesure où elle rentrait sur d'autres points en contradiction avec l'exploitation coloniale, elle eut longtemps des effets limités. Cela favorisa le développement d'une culture nouvelle, créole, issue de l'interaction des différents apports civilisationnels avec la plantation. L'assimilation culturelle fut par la suite revendiquée par les dominés. Elle se confondait alors avec la recherche d'un capital symbolique de nature à favoriser leur promotion sociale. Mais à compter des années 1930, des courants littéraires et culturels en rupture avec l'assimilation émergent. Ces courants s'attachent à la revalorisation de sources culturelles, société née de la colonisation, l'assimilation culturelle est dès le départ imposée par le pouvoir, singulièrement en matière religieuse

, Après l'abolition de l'esclavage en 1848, et suite à la parenthèse autoritaire que représenta le Second Empire, elle fut l'aspiration de l'écrasante majorité de la population, L'assimilation politique, elle, fut réclamée d'abord par les Libres de couleur qui exigeaient les mêmes droits que les Békés

, L'identification politique avec les Français apparaissait comme le moyen d'échapper à l'arbitraire colonial. Cette demande débouche en 1946 sur la départementalisation. A partir des années 1950 toutefois, des mouvements souverainistes (de type autonomiste puis indépendantiste)